Pêches de vigne au côte-de-brouilly
CONSEIL DU SOMMELIER
Un plat au fruit savoureux, riche en fibre et très aromatique. Les tanins de pêches sont comparables aux tanins du vin. La cuisson a marié les saveurs. Dans une continuité classique, il est indispensable de servir le vin de la cuisson. Vous pouvez également prolonger le vin servi sur le fromage. Paradoxalement, le meilleur accord s'appuiera sur un vin jeune et pulpeux (certains cahors et madiran) ou tannique (fitou, corbières) afin de ne pas glisser dans la mollesse du fruit. Tous les rouges de Bourgogne jeunes conviendront (côte-de-nuits, côte-chalonnaise...), un côtes-de-brouilly ou un brouilly, et plus généralement tous les crus du Beaujolais. On peut aussi choisir un vin doux naturel (rivesaltes grenat ou maury) ou un porto LBV jeune (Late Bottle Vintage ou catégorie de porto de grande récolte, riche en tanins et en fruits, au mode de vieillissement limité à 4/6 ans de fûts).
APPELLATIONS PROPOSÉES POUR CETTE RECETTE
Vins de Côte-de-brouilly
 
                        RECETTE
- - 6 à 12 pêches de vigne selon leur taille
- - 100 g de cassis
- - 60 cl de côte
- - de
- - brouilly
- - 1 petite lamelle de zeste de citron
- - 100 g de sucre en poudre
- 
                                            1Mettez le vin dans une casserole, faites-le chauffer à feu doux avec le sucre et le zeste de citron, tout en remuant afin de dissoudre le sucre. 
- 
                                            2Faites tremper les pêches quelques secondes dans de l'eau bouillante. Pelez-les et coupez-les en grosses lamelles. Faites-les cuire 20 min à feu moyen dans le vin. 
- 
                                            3Hors du feu, ajoutez les baies de cassis et laissez refroidir. Versez alors dans un compotier et mettez au réfrigérateur 1 à 2 h. 
- 
                                            4Servez ce dessert frais, accompagné d'un quatre-quarts, de biscuits secs ou encore d'un rigodon. 
 
     
                     
     
         
                 
						 
									 
								
 
                         
                         
             
             
             
                                 
                             
                             
                             
                                                 
                                                 
                                                 
                                                 
                                                


COMMENTAIRE