Château Fontvert Soulèu E Terraire 2010 rouge :
L'avis du Guide Hachette des Vins 2013
"Ce domaine, propriété de la famille Monod depuis les années 1950, n'est sorti de la cave coopérative qu'en 2001. Il s'est alors doté d'un nouvel outil de production, a entièrement restructuré le vignoble, en cours de conversion biologique et biodynamique, et construit une nouvelle cave. Des efforts qui portent leurs fruits, à en juger par ce remarquable 2010 d'un beau grenat intense, né à parts égales de grenache et de syrah. Au nez comme en bouche, il offre une large et complexe palette aromatique: violette, réglisse, cacao, praline. On apprécie aussi sa concentration, ses tanins soyeux et sa longueur. Déjà fort aimable, il a suffisamment d'étoffe pour être ""oublié"" quatre ou cinq ans en cave. Élevé en cuve, le 2010 rouge Les Restanques (5 à 8 €; 10 000 b.) évolue dans un registre plus souple et fruité. Harmonieux et rond, il reçoit une étoile. Cité, le 2011 rosé Soulèu e Terraire (5 à 8 €; 18 500 b.) a connu un élevage partiel en fût, dont il retire des notes de caramel qui se marient à des nuances de fruits mûrs, et un palais rond rehaussé par une pointe de fraîcheur."
Détail du vin
Château Fontvert Soulèu E Terraire 2010 rouge
Quelle note du Guide Hachette le vin Château Fontvert Soulèu E Terraire 2010 rouge a-t-il obtenu ? Dans quelle édition a-t-il été noté ?
Le Château Fontvert Soulèu E Terraire 2010 rouge a obtenu la note de 2 étoiles, ce qui correspond à un vin remarquable.
Les jurys lui ont décerné un Coup de Cœur.
Ce vin a été noté dans l’édition 2013 du Guide Hachette Vins.
Combien de bouteilles de Château Fontvert Soulèu E Terraire 2010 rouge ont-elles été produites ?
3 000 bouteilles de cette cuvée ont été produites.
Comment est élevé le vin Château Fontvert Soulèu E Terraire 2010 rouge ?
Ce vin est élevé en fût.
À quelle température est-il recommandé de boire le vin Château Fontvert Soulèu E Terraire 2010 rouge ?
Nous recommandons de servir ce vin à une température comprise entre 15 °C.
Production :
3 000 bouteilles
COMMENTAIRE